Après sa victoire acquise de main de maitre sur les pentes du Col Saint-Pierre, Pierre Courroye était attendu de pied ferme par ses adversaires. Mais le jeune pilote de la McLaren MP4 a parfaitement géré cette journée d’essais, et se place ce soir en tête.
A sa suite, on retrouve les deux frères Schmitter, Philippe plaçant sa Lamborghini Gallardo devant la Porsche 997 GT3 de Christian. Comme pour le classement Sport, les écarts sont très faibles ce qui laisse augurer une belle empoignade, demain, à l’occasion des trois montées de course.
Frédéric Neff fait à Abreschviller son entrée sur le Championnat. Le suisse, deuxième l’an dernier, a rapidement repris ses marques et place sa Porsche 996 au quatrième rang. A un dixième, pointe la BMW E92 de Yannick Poinsignon, qui devance une autre BMW, celle de Pierre Béal. Au septième rang du classement du GTTS, on retrouve la Lamborghini Gallardo de Nicolas Caumon.
Vainqueur en Production l’an dernier, Francis Dosières a pris l’ascendant en Groupe A lors de ces essais. Il devance de près de deux secondes une autre Seat Léon, celle de Laurent Haenn. Bruno Fra (BMW M3) occupe la troisième place, devant la Supercopa de Rémi Bernard et la BMW d’un Fabrice Marchal qui prend là, la mesure de sa nouvelle BMW M3. Jérôme Janny se familiarise lui aussi avec sa Supercopa, qui occupe la sixième place du groupe.
La première place du Groupe N est à mettre à l’actif, ce soir, de la Mitsubishi Lancer de Gaëtan Jeannel qui devance les BMW M3 d’Antoine Uny et Guillaume Fade. Quatrième, Pascal Cat a eu un peu de mal pour trouver ses marques au volant de sa Renault Mégane RS.
La hiérarchie en Groupe F2000 n’a rien de vraiment surprenant puisque c’est la Peugeot 306 de Jean Turnel qui mène les débats. Il devance la Renault Clio de Thomas Schwarz.
Didier Deniset (Renault 5 Turbo) occupe la première place du FC alors que Jean-Michel Lestienne voit sa Mitjet pointer en tête du GTTS/1, devant celle de Daniel Demare qui découvre sa nouvelle monture. Du côté du GT de Série, Joel Richard impose sa BMW 135 I, devant la Porsche 996 d’un Rémi Courtois qui n’a pas dit son dernier mot.